Animation
Les majoraux assurent depuis quarante ans
D’un pari potache entre Duhortois est née une étonnante aventure. 44 ans après, la belle histoire des majorettes hommes continue et procure un plaisir partagé aux Majoraux et aux spectateurs, petits et grands.
D’un pari potache entre Duhortois est née une étonnante aventure. 44 ans après, la belle histoire des majorettes hommes continue et procure un plaisir partagé aux Majoraux et aux spectateurs, petits et grands.

À Duhort-Bachen, village landais de 600 âmes, le corso fleuri des chars confectionnés par les habitants de la commune marquait le temps fort des fêtes patronales en septembre. Au début des années quatre-vingt, à une époque où «les majorettes qui n’ont pas un poil de trop sur les gambettes» comme le chantait Pierre Perret, commencent à s’essouffler, un pari entre potes au café du village alimente un sacré défi. Pourquoi ne pas défiler déguisés en hommes habillés en tenue de femmes pour le corso fleuri ? L’idée fait mouche, l’asso se crée en 1981 et s’appelle les “Poupouns” (N.D.L.R. : les poupons en gascon), rapidement étiquetée AOC Les Majoraux. Jean-Jacques Mulet, le cafetier en est élu président.