Farre veut valoriser les efforts environnementaux des agriculteurs
Le réseau national Farre (Forum de l 'Agriculture Raisonnée Respectueuse de l'Environnement) oeuvre pour que les efforts des agriculteurs en matière environnementale soient valorisés.
Les agriculteurs du réseau Farre ont eu une journée chargée le 28 octobre dernier. Avant l'assemblée générale landaise, c'est celle du réseau aquitain s'est tenue en matinée. Le directeur de Farre national, Gilles Maréchal, avait fait le déplacement pour l'occasion.
Le représentant national a lancé le débat sur l'intérêt pour les agriculteurs de continuer à s'investir dans l'environnement. Il a tout d'abord rappelé le projet stratégique « Farre 2015 » adopté en 2009 et qui vise à faire de l'association un acteur majeur de la relation agriculture et environnement.
Quatre axes de travail dans le projet stratégique « Farre 2015 »
Ce programme se décline en quatre axes : poursuivre la communication et le travail avec les associations environnementales, renforcer le réseau dans les départements, continuer le travail de réflexion engagé dans les réseaux spécialisés (agroéquipement, biodiversité, énergie et gaz à effet de serre, protection des plantes et du sol, santé et sécurité au travail) et renforcer la communication vers le grand public. « L'environnement ne doit pas être considéré comme une contrainte mais comme une opportunité par les agriculteurs », a-t-il insisté. C'est en tout cas la position que défend l'association auprès des pouvoirs publics et de l'Europe, en militant pour que les agriculteurs qui font des efforts en matière environnementale obtiennent une valorisation (sous la forme d'aides de la part des collectivités par exemple).
La question environnementale sera d'ailleurs au coeur des quatorzièmes rencontres Farre qui se dérouleront le 12 janvier prochain à Paris sur le thème « Services environnementaux : qui paye ? ». Les efforts environnementaux ont un coût, et les agriculteurs devraient être mieux mis en valeur dans ces démarches.
Cécile Agusti
Le représentant national a lancé le débat sur l'intérêt pour les agriculteurs de continuer à s'investir dans l'environnement. Il a tout d'abord rappelé le projet stratégique « Farre 2015 » adopté en 2009 et qui vise à faire de l'association un acteur majeur de la relation agriculture et environnement.
Quatre axes de travail dans le projet stratégique « Farre 2015 »
Ce programme se décline en quatre axes : poursuivre la communication et le travail avec les associations environnementales, renforcer le réseau dans les départements, continuer le travail de réflexion engagé dans les réseaux spécialisés (agroéquipement, biodiversité, énergie et gaz à effet de serre, protection des plantes et du sol, santé et sécurité au travail) et renforcer la communication vers le grand public. « L'environnement ne doit pas être considéré comme une contrainte mais comme une opportunité par les agriculteurs », a-t-il insisté. C'est en tout cas la position que défend l'association auprès des pouvoirs publics et de l'Europe, en militant pour que les agriculteurs qui font des efforts en matière environnementale obtiennent une valorisation (sous la forme d'aides de la part des collectivités par exemple).
La question environnementale sera d'ailleurs au coeur des quatorzièmes rencontres Farre qui se dérouleront le 12 janvier prochain à Paris sur le thème « Services environnementaux : qui paye ? ». Les efforts environnementaux ont un coût, et les agriculteurs devraient être mieux mis en valeur dans ces démarches.
Cécile Agusti