Année «positive» à Groupama d'Oc
Avec des résultats en hausse et des équipes de gestionnaires et de commerciaux réorganisées pour améliorer la satisfaction des sociétaires, le travail de Groupama d'Oc continue à porter ses fruits.
Dernier exercice du président Francis Aussat (à gauche) et du président délégué Jean-Marc Fabre, 2010 aura été une année pour Groupama d'Oc , notamment en termes de développement : le taux enregistré en la matière est le meilleur depuis 2003 © Grou
Le mercredi 22 juin 2011, dans l'espace de congrès Diagora, à Labège (Haute-Garonne), Groupama d'Oc a tenu son assemblée générale devant 300 élus régionaux et départementaux, représentant les quatorze départements de son territoire régional. Francis Aussat, président régional, et Gérard Joalland, directeur général, ont commenté le bilan de l'année 2010. Jean-Luc Baucherel, président de la Fédération nationale, et Jean Azema, directeur général de Groupama SA, ont, pour leur part, évoqué la politique générale du groupe ainsi que les défis et enjeux des cinq années à venir.
Des résultats en hausse
Pour le président régional, « 2010 est une année encourageante pour le développement, une année de vigilance pour la marge technique ». Dans un contexte économique et financier difficile, Groupama d'Oc enregistre son meilleur taux de développement depuis sa création en 2003. Sur tous les marchés — agricole, particuliers et professionnels —, l'entreprise régionale affiche une croissance positive et atteint un chiffre d'affaires global (IARD + vie) de 855 millions d'euros. Cette croissance est surtout portée par le développement des assurances de personnes, notamment la garantie dépendance (+ 15 %).
Les résultats techniques appellent à la vigilance, particulièrement en assurance automobile où la sinistralité est préoccupante (88 % de rapport sinistres à cotisations), et dans une moindre mesure en incendie (77 %). Malgré cette dégradation, Groupama d'Oc affiche un résultat social positif de 3 millions d'euros. Autre élément de satisfaction en assurance-vie : un taux d'équipement des sociétaires au-delà des objectifs fixés. Plus de trois sociétaires sur dix sont désormais titulaires d'un contrat d'assurance-vie.
Dans le domaine bancaire, le crédit à la consommation et le crédit immobilier contribuent au net progrès des encours (+ 19 %). L'année 2010 marque également le décollage de l'épargne financière. Plus de 9 clients sur 10 saluent le bon rapport qualité/prix de l'offre de Groupama Banque, qui a été récompensée par la presse spécialisée pour la quatrième année consécutive.
Pour Gérard Joalland, directeur général, l'essai marqué en 2010 doit être transformé en 2011, à travers deux priorités stratégiques : « l'amélioration de la qualité des services aux sociétaires et le retour à un taux de développement IARD positif, sans porter atteinte à la marge technique ». Vecteur de fidélité du sociétaire et par là même de rentabilité pour l'entreprise, qualité et le développement sont des exigences à la fois mutualistes et économiques garantes de l'avenir de l'entreprise régionale.
Le développement repose sur deux leviers principaux : croissance de l'assurance de la personne et de l'assurance santé, d'une part et conquête du marché urbain, d'autre part. Pour améliorer la qualité du service rendu au client, Groupama d'Oc doit, selon Gérard Joalland, « développer davantage l'assistance après sinistres à partir de ses plateformes et renforcer son potentiel d'expertise technique et de conseil spécialisé ».
« En 2010, le Groupe confirme sa bonne résistance dans un environnement difficile et poursuit sa croissance en France et à l'international », affirme de son côté Jean Azema. Principaux indicateurs de cette double performance : un résultat net proche de 400 millions d'euros, un ratio combiné stable, un bon développement du chiffre d'affaires, notamment en assurance de biens et responsabilités, en France et sur l'ensemble de l'activité d'assurance à l'international.
Fruits de la politique de croissance durable et rentable menée depuis plusieurs années, ces résultats sont obtenus dans un contexte marqué par les incertitudes économiques et financières, des événements climatiques exceptionnels (Xynthia, inondations en France et en Hongrie, gel en Grande-Bretagne) et de nombreux éléments impactants (fiscalisation de la réserve de capitalisation, réforme des retraites, provisions pour dépréciation). Leviers de croissance
Développement des réseaux de distribution, mise en place de nouveaux partenariats, poursuite de programmes de renforcement de l'efficacité technique et opérationnelle : autant de leviers de croissance actionnés en 2010 par le Groupe au service d'une ambition claire : devenir l'un des dix premiers assureurs européens.
Principal défi à relever dans l'immédiat : la période de sécheresse que traverse la France. Pour Jean-Luc Baucherel, président de Groupama : « Tout comme en 2003, Groupama se mobilise à travers ses 4.300 Caisses locales et ses 60 000 élus, présents sur le terrain. » De juin à octobre 2011, Groupama prendra en charge des extensions de garanties nécessaires à la mise en oeuvre d'opérations de solidarité dans toute la France. Le contrat climats permet de sécuriser les rendements. L'assurance multirisque climatique sur récoltes couvre aujourd'hui plus de 70 cultures contre 13 aléas différents.
Avec la décision des pouvoirs publics de supprimer progressivement le périmètre d'intervention du fonds national de garantie des calamités agricoles (FNGCA) et, en contrepartie, de mieux subventionner l'assurance récolte individuelle, Groupama, premier assureur de l'agriculture, confirme son engagement historique aux côtés des agriculteurs. Sécheresse : Groupama solidaire des agriculteurs en difficulté
Pour permettre à ses assurés éleveurs et céréaliers de faire face à la sécheresse, Groupama apporte sa contribution aux opérations de stockage et de transport de pailles, en prenant en charge à titre gracieux les extensions de garanties nécessaires à la mise en oeuvre de ces opérations de solidarité.
Ces garanties répondent à des situations particulières et concernent essentiellement le domaine de la responsabilité civile. Elles sont accordées pour la durée de l'opération et vont permettre un acheminement plus rapide et simplifié de la paille à destination des exploitations les plus touchées. En effet, si l'entraide est une situation déjà prise en charge par le contrat de Groupama, l'ampleur des opérations nécessite de compléter le dispositif existant par des garanties spécifiques. « Tout comme en 2003, commente le président Jean-Luc Baucherel, Groupama se mobilise à travers ses 4 300 caisses locales et ses 60 000 élus, présents sur le terrain. Cette proximité nous permet d'accompagner individuellement les exploitants confrontés à cette situation exceptionnelle ».
En pratique
Le céréalier qui met à disposition de la paille et du fourrage bénéficiera d'une extension de garantie couvrant sa responsabilité, délivrée à titre gracieux. L'éleveur, destinataire de l'action bénéficiera d'une garantie responsabilité civile temporaire, s'il utilise du matériel prêté ou loué, délivrée à titre gracieux.
Le céréalier et l'éleveur bénéficieront d'une garantie « marchandise transportée » délivrée temporairement et à titre gracieux, sous réserve d'en faire une déclaration préalable à la caisse régionale. Ces garanties sont accordées à titre temporaire pour la période de juin à octobre 2011. Elles seront portées à la connaissance des assurés via le site Groupama.fr. Par ailleurs, Groupama, au travers de ses caisses locales, prendra en compte l'examen au cas par cas des situations individuelles.
Pour le président régional, « 2010 est une année encourageante pour le développement, une année de vigilance pour la marge technique ». Dans un contexte économique et financier difficile, Groupama d'Oc enregistre son meilleur taux de développement depuis sa création en 2003. Sur tous les marchés — agricole, particuliers et professionnels —, l'entreprise régionale affiche une croissance positive et atteint un chiffre d'affaires global (IARD + vie) de 855 millions d'euros. Cette croissance est surtout portée par le développement des assurances de personnes, notamment la garantie dépendance (+ 15 %).
Les résultats techniques appellent à la vigilance, particulièrement en assurance automobile où la sinistralité est préoccupante (88 % de rapport sinistres à cotisations), et dans une moindre mesure en incendie (77 %). Malgré cette dégradation, Groupama d'Oc affiche un résultat social positif de 3 millions d'euros. Autre élément de satisfaction en assurance-vie : un taux d'équipement des sociétaires au-delà des objectifs fixés. Plus de trois sociétaires sur dix sont désormais titulaires d'un contrat d'assurance-vie.
Dans le domaine bancaire, le crédit à la consommation et le crédit immobilier contribuent au net progrès des encours (+ 19 %). L'année 2010 marque également le décollage de l'épargne financière. Plus de 9 clients sur 10 saluent le bon rapport qualité/prix de l'offre de Groupama Banque, qui a été récompensée par la presse spécialisée pour la quatrième année consécutive.
Pour Gérard Joalland, directeur général, l'essai marqué en 2010 doit être transformé en 2011, à travers deux priorités stratégiques : « l'amélioration de la qualité des services aux sociétaires et le retour à un taux de développement IARD positif, sans porter atteinte à la marge technique ». Vecteur de fidélité du sociétaire et par là même de rentabilité pour l'entreprise, qualité et le développement sont des exigences à la fois mutualistes et économiques garantes de l'avenir de l'entreprise régionale.
Le développement repose sur deux leviers principaux : croissance de l'assurance de la personne et de l'assurance santé, d'une part et conquête du marché urbain, d'autre part. Pour améliorer la qualité du service rendu au client, Groupama d'Oc doit, selon Gérard Joalland, « développer davantage l'assistance après sinistres à partir de ses plateformes et renforcer son potentiel d'expertise technique et de conseil spécialisé ».
« En 2010, le Groupe confirme sa bonne résistance dans un environnement difficile et poursuit sa croissance en France et à l'international », affirme de son côté Jean Azema. Principaux indicateurs de cette double performance : un résultat net proche de 400 millions d'euros, un ratio combiné stable, un bon développement du chiffre d'affaires, notamment en assurance de biens et responsabilités, en France et sur l'ensemble de l'activité d'assurance à l'international.
Fruits de la politique de croissance durable et rentable menée depuis plusieurs années, ces résultats sont obtenus dans un contexte marqué par les incertitudes économiques et financières, des événements climatiques exceptionnels (Xynthia, inondations en France et en Hongrie, gel en Grande-Bretagne) et de nombreux éléments impactants (fiscalisation de la réserve de capitalisation, réforme des retraites, provisions pour dépréciation). Leviers de croissance
Développement des réseaux de distribution, mise en place de nouveaux partenariats, poursuite de programmes de renforcement de l'efficacité technique et opérationnelle : autant de leviers de croissance actionnés en 2010 par le Groupe au service d'une ambition claire : devenir l'un des dix premiers assureurs européens.
Principal défi à relever dans l'immédiat : la période de sécheresse que traverse la France. Pour Jean-Luc Baucherel, président de Groupama : « Tout comme en 2003, Groupama se mobilise à travers ses 4.300 Caisses locales et ses 60 000 élus, présents sur le terrain. » De juin à octobre 2011, Groupama prendra en charge des extensions de garanties nécessaires à la mise en oeuvre d'opérations de solidarité dans toute la France. Le contrat climats permet de sécuriser les rendements. L'assurance multirisque climatique sur récoltes couvre aujourd'hui plus de 70 cultures contre 13 aléas différents.
Avec la décision des pouvoirs publics de supprimer progressivement le périmètre d'intervention du fonds national de garantie des calamités agricoles (FNGCA) et, en contrepartie, de mieux subventionner l'assurance récolte individuelle, Groupama, premier assureur de l'agriculture, confirme son engagement historique aux côtés des agriculteurs. Sécheresse : Groupama solidaire des agriculteurs en difficulté
Pour permettre à ses assurés éleveurs et céréaliers de faire face à la sécheresse, Groupama apporte sa contribution aux opérations de stockage et de transport de pailles, en prenant en charge à titre gracieux les extensions de garanties nécessaires à la mise en oeuvre de ces opérations de solidarité.
Ces garanties répondent à des situations particulières et concernent essentiellement le domaine de la responsabilité civile. Elles sont accordées pour la durée de l'opération et vont permettre un acheminement plus rapide et simplifié de la paille à destination des exploitations les plus touchées. En effet, si l'entraide est une situation déjà prise en charge par le contrat de Groupama, l'ampleur des opérations nécessite de compléter le dispositif existant par des garanties spécifiques. « Tout comme en 2003, commente le président Jean-Luc Baucherel, Groupama se mobilise à travers ses 4 300 caisses locales et ses 60 000 élus, présents sur le terrain. Cette proximité nous permet d'accompagner individuellement les exploitants confrontés à cette situation exceptionnelle ».
En pratique
Le céréalier qui met à disposition de la paille et du fourrage bénéficiera d'une extension de garantie couvrant sa responsabilité, délivrée à titre gracieux. L'éleveur, destinataire de l'action bénéficiera d'une garantie responsabilité civile temporaire, s'il utilise du matériel prêté ou loué, délivrée à titre gracieux.
Le céréalier et l'éleveur bénéficieront d'une garantie « marchandise transportée » délivrée temporairement et à titre gracieux, sous réserve d'en faire une déclaration préalable à la caisse régionale. Ces garanties sont accordées à titre temporaire pour la période de juin à octobre 2011. Elles seront portées à la connaissance des assurés via le site Groupama.fr. Par ailleurs, Groupama, au travers de ses caisses locales, prendra en compte l'examen au cas par cas des situations individuelles.
