Cellule sécheresse 64
Réunie le 21 juillet par la DDTM, la cellule sécheresse a abordé les sujets des débits des cours d'eau du département et de l'utilisation des jachères.
Des débits encore confortablesDepuis plus d'un mois, la majeure partie du département n'a pas reçu de précipitations significatives. Rappelons que dans les Pyrénées-Atlantiques, un tiers des surfaces de mais est irrigué. Cela veut dire qu'une majorité des cultures souffre de la chaleur surtout en période de floraison où les besoins en eau sont les plus importants.
Pour faire le point sur cette situation, la DDTM a réuni une « cellule sécheresse » ce mercredi 21 juillet. Elle a constaté qu'aujourd'hui les débits relevés sur les cours d'eau du Béarn et du Pays basque sont confortables. 95 % des prélèvements sont effectués à partir des gaves de Pau et Oloron ou à partir de ressources stockées.
En ce qui concerne les cours d'eau déficitaires, les irrigants organisent leurs prélèvements en tours d'eau ce qui permet de maintenir les débits acceptables. Ainsi, les seules restrictions prises sont les suivantes :
- Saleys (secteur aval) : interdiction de prélèvement.
- Joyeuse : interdiction de prélèvement.
- Lausset : restriction de niveau 2, soit cinq pompes en fonctionnement simultané.
La FDSEA demande à pouvoir utiliser les jachèresPar ailleurs, la FDSEA a adressé un courrier au préfet pour obtenir la dérogation permettant l'utilisation des jachères pour nourrir les animaux. En effet, suite à la demande des différentes FDSEA, le ministre de l'Agriculture l'a déjà accordé cette dérogation dans 51 départements, situés pour l'essentiel dans le nord, le nord-est, l'ouest et le centre de la France plus la Lozère, les Pyrénées-Orientales, la Savoie et le Tarn-et-Garonne. Dans ces départements précocement touchés, les agriculteurs pourront donc récolter les jachères pour nourrir leurs animaux. La FDSEA des Pyrénées-Atlantiques espère bénéficier rapidement de la même mesure.
Toutefois, Bruno Le Maire indique que cette dérogation vaut pour toutes les terres déclarées en gel au plus tard au 13 juillet. Le ministre rappelle également que la France doit satisfaire à l'obligation de maintenir le ratio de pàturages permanents (prairies permanentes et prairies temporaires de plus de cinq ans). En précisant que si ce ratio se dégradait, il y aurait obligation de prendre des mesures pour le rétablir.
Pour faire le point sur cette situation, la DDTM a réuni une « cellule sécheresse » ce mercredi 21 juillet. Elle a constaté qu'aujourd'hui les débits relevés sur les cours d'eau du Béarn et du Pays basque sont confortables. 95 % des prélèvements sont effectués à partir des gaves de Pau et Oloron ou à partir de ressources stockées.
En ce qui concerne les cours d'eau déficitaires, les irrigants organisent leurs prélèvements en tours d'eau ce qui permet de maintenir les débits acceptables. Ainsi, les seules restrictions prises sont les suivantes :
- Saleys (secteur aval) : interdiction de prélèvement.
- Joyeuse : interdiction de prélèvement.
- Lausset : restriction de niveau 2, soit cinq pompes en fonctionnement simultané.
La FDSEA demande à pouvoir utiliser les jachèresPar ailleurs, la FDSEA a adressé un courrier au préfet pour obtenir la dérogation permettant l'utilisation des jachères pour nourrir les animaux. En effet, suite à la demande des différentes FDSEA, le ministre de l'Agriculture l'a déjà accordé cette dérogation dans 51 départements, situés pour l'essentiel dans le nord, le nord-est, l'ouest et le centre de la France plus la Lozère, les Pyrénées-Orientales, la Savoie et le Tarn-et-Garonne. Dans ces départements précocement touchés, les agriculteurs pourront donc récolter les jachères pour nourrir leurs animaux. La FDSEA des Pyrénées-Atlantiques espère bénéficier rapidement de la même mesure.
Toutefois, Bruno Le Maire indique que cette dérogation vaut pour toutes les terres déclarées en gel au plus tard au 13 juillet. Le ministre rappelle également que la France doit satisfaire à l'obligation de maintenir le ratio de pàturages permanents (prairies permanentes et prairies temporaires de plus de cinq ans). En précisant que si ce ratio se dégradait, il y aurait obligation de prendre des mesures pour le rétablir.